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Bilans mensuels

DECEMBRE 2022

- Températures : malgré une première quinzaine bien froide, la suite du mois s'est révélée excessivement douce, donnant un bilan excédentaire sur l'ensemble de la période.

 

- Pluviométrie : la pluviométrie a été très hétérogène et globalement déficitaire, hormis vers le nord-ouest et dans le quart sud-est. Le bilan est particulièrement négatif dans le sud-ouest du pays.

 

- Ensoleillement : l'ensoleillement a été globalement bon du sud-ouest au centre et déficitaire vers l'ouest, le nord et le sud-est.

NOVEMBRE 2022

- Températures : c'est un énième mois très doux à l'échelle de la France, concluant un automne très chaud !

 

- Pluviométrie : la pluviométrie s'est mieux portée que durant les précédents mois, même si quelques régions sont restées à l'écart de la plupart des précipitations.

 

- Ensoleillement : l'ensoleillement est très hétérogène, globalement bon à l'ouest (surtout au nord-ouest), plus timide à l'est à l'exception des régions méditerranéennes.

OCTOBRE 2022

- Températures : c'est un mois exceptionnellement chaud qui a eu lieu puisqu'il détient un nouveau record de température moyenne. L'ensemble du mois a été au-dessus des moyennes et ça a été particulièrement le cas en deuxième quinzaine, alors même qu'octobre est normalement un mois à pente descendante. 

 

- Pluviométrie : c'est un énième mois trop sec à l'échelle du pays, même si certaines régions s'en sortent mieux au nord et à l'est. Les déficits sont particulièrement critiques dans le sud-ouest et près de la Méditerranée.

 

- Ensoleillement : l'ensoleillement est globalement en léger excédent, mais avec des excédents plus prononcés vers le nord et l'est, alors qu'on est proche des moyennes ailleurs et même en-dessous vers le nord-ouest.

SEPTEMBRE 2022

- Températures : ce mois a été un peu moins chaud que les précédents mais reste supérieur aux normes de saison. Dans le détail, la première quinzaine s'est montrée très estivale, avec même des journées caniculaires, particulièrement dans le sud-ouest. La deuxième quinzaine s'est montrée plus automnale avec tantôt une fraîcheur anticyclonique (surtout perceptible la nuit), tantôt un régime océanique. Les excédents sont plus importants au sud qu'au nord, sans surprise.

 

- Pluviométrie : les pluies ont été plus généreuses durant ce mois, mais encore inégale. Globalement la façade est et une partie des régions méditerranéennes ont pu bénéficier de conditions régulièrement perturbées. C'était aussi le cas du nord du pays en fin de mois. Les précipitations ont été encore insuffisantes dans d'autres régions, comme sur la façade atlantique ou en PACA et au nord de la Corse.

 

- Ensoleillement : le soleil a brillé normalement sur toutes les régions, bien qu'il ait été généralement plus généreux au sud qu'au nord.

ETE 2022

- Températures :  l'ensemble des 3 mois de l'été a été supérieur aux moyennes et souvent très largement. En effet celui-ci a été ponctué par plusieurs canicules en juin, juillet puis une encore plus longue sur la première quinzaine d'août. Le reste de l'été est resté au-dessus des moyennes malgré tout...C'est l'été le plus chaud derrière 2003 et de peu (il est même légèrement devant dans certaines régions de la moitié sud et notamment dans le sud-ouest).

 

- Pluviométrie : seul le mois de juin a été généreux en pluie dans beaucoup de régions. Juillet a été le plus sec qu'ait connu la France. Les quelques orages du mois d'août ont été trop aléatoires pour endiguer la sécheresse qui a sévit sur tout le pays.

 

- Ensoleillement : en raison des conditions anticycloniques qui ont dominé l'essentiel de l'été, le soleil a brillé très généreusement. On retiendra particulièrement le mois de juillet qui a enregistré de nombreux records sur l'essentiel des régions.

AOUT 2022

JUILLET 2022

- Températures :  Si le mois a commencé et terminé dans une atmosphère quasiment de saison, hormis près de la Méditerranée, une canicule a marqué tout le milieu de mois, tant par son intensité que par sa longueur, notamment sur toute la moitié sud. Les nuits souvent plus fraîches ont permis de tempérer l'excédent total.

 

- Pluviométrie : c'est le mois le plus sec qu'ait connu la France depuis plusieurs décennies au moins. Rares sont les stations à avoir cumulé quelques dizaines de mm, la plupart étant restées proches de zéro...

 

- Ensoleillement : en raison des conditions très anticycloniques qui ont régné durant tout le mois, l'ensoleillement s'est avéré exceptionnel sur tout le pays, avec des records pulvérisés sur la majeure partie de la France !

JUIN 2022

Les mois de mai et juin se sont révélés tous les deux très chauds avec à chaque fois une vague de chaleur marquée.

La pluviométrie aura été très faible en mai, malgré quelques épisodes orageux, marquants mais souvent localisés. En juin les orages ont été très fréquents sur la majeure partie des régions, particulièrement du sud-ouest et au centre jusqu'au nord-est, où la pluviométrie est donc excédentaire.

L'ensoleillement s'est montré généreux, avec des excédents particulièrement importants en mai.

MAI 2022

AVRIL 2022

- Températures :  ce milieu de printemps aura été relativement proche des normes, quoique légèrement excédentaire au niveau national. Dans le détail, nous avons commencé par un coup de froid remarquable pour la saison, vite effacé par un milieu et une fin de mois aux allures quasi-estivales.

 

- Pluviométrie : comme souvent au printemps, les pluies ont été très hétérogènes. Un grand quart nord-est, l'ouest du Massif Central ainsi que les Pyrénées ont reçu quelques épisodes pluvieux largement bénéfiques, alors que la sécheresse a persisté dans le nord et du Lyonnais et de l'Auvergne aux bords de la Méditerranée.

 

- Ensoleillement : le soleil a davantage brillé dans le nord que le sud, tout comme en mars. En effet les conditions anticycloniques récurrentes ont favorisé les régions les plus septentrionales, tandis que la moitié sud a été plus souvent confrontée à des gouttes froides, apportant pas mal de nébulosité.

MARS 2022

- Températures :  ce premier mois de printemps s'est montré globalement doux, particulièrement sur le nord du pays, alors que le sud-est est très proche des normes mensuelles.

 

- Pluviométrie : il conclut un premier trimestre bien sec sur la majeure partie de l'hexagone. Les pluies ont été peu nombreuses et seul le Languedoc est en excédent grâce à un épisode pluvieux notable pour la saison. On est à l'équilibre dans l'intérieur du sud-ouest.

 

- Ensoleillement : le soleil a davantage brillé dans le nord que le sud et c'est d'autant plus exceptionnel qu'à cette saison on observe normalement un net dégradé nord/sud. Des records mensuels ont été battus dans le nord-est, alors que Perpignan et Montpellier battent des records...de bas ensoleillement. Les flux de sud-est récurrents expliquent une nébulosité anormalement abondante.

FÉVRIER 2022

- Températures :  le dernier mois de l'hiver s'est révélé beaucoup plus doux avec des excédents généralement compris entre 2 et 3°C. Même si les pics de douceur sont restés modérés, celle-ci a été relativement constante avec beaucoup de journées aux allures printanières.

 

- Pluviométrie : les conditions anticycloniques ont encore marqué ce mois, comme les autres de l'hiver. En conséquence, les précipitations ont très souvent été insuffisantes. Les déficits ont été présents sur toutes les régions, même si quelques rares secteurs tirent leur épingle du jeu grâce à quelques rares journées pluvieuses ici et là.

 

- Ensoleillement : le soleil a bien brillé sur la majorité du territoire, avec tout de même des disparités. En effet, il a été très présent du nord au centre-est, alors que le bilan est plus proche de la normale dans le sud et l'ouest. La Bretagne fait figure d'exception avec des déficits bien prononcés, dans la lignée des deux autres mois de l'hiver.

JANVIER 2022

- Températures :  ce premiers mois de l'année termine parfaitement dans les normes. A la faveur d'un froid de basses couches bien présents, notamment la nuit, beaucoup de stations de plaine du Sud-Ouest et du Centre-Est notamment observent des déficits. A contrario le froid s'est montré moins présent vers le Nord et le Nord-Est, ainsi qu'en altitude (en raison de masses d'air doux dominantes).

 

- Pluviométrie : en raison de conditions anticycloniques dominantes, les précipitations sont restés faibles la majeure partie du mois, après une première décade plus humide. Les cumuls sont particulièrement faibles (proches de 0 mm) dans le Sud-Est avec de nombreux records. Seul l'extrême Sud-Ouest tire son épingle du jeu grâce à de fortes précipitations en début de mois, ainsi que le Nord.

 

- Ensoleillement : comme cela a été présenté dans l'article sur les records d'ensoleillement (ici), la France a été coupée en deux avec conditions très ensoleillées au Sud et globalement bien grise au Nord.

ANNÉE 2021

- Températures :  c'est une année relativement proche des normales qui s'est écoulée, chose rare dans l'époque récente ! On observe de nombreux mois déficitaires répartis tout au long de l'année, entrecoupés de quelques mois excédentaires. Mais ces derniers ayant eu des rapports aux normes plus importants que les déficits, le bilan global est donc dans le +.

 

- Pluviométrie : les pluies ont été très proches de la normale à l'échelle nationale, même si on note, comme toujours, des disparités. Les déficits sont présents dans le Sud-Est et le Nord-Ouest, alors que la situation est plus favorable du Sud-Ouest au Nord-Est. Dans le temps la pluviométrie a joué au yo-yo avec quelques mois bien humides : janvier, mai, juin, juillet...Alors que d'autres ont été marqués par leur sécheresse parfois très importante : mars, avril, novembre notamment.

 

- Ensoleillement : le bilan est moins excédentaire que lors des précédentes années en raison de conditions perturbées plus fréquentes. Malgré tout il est très satisfaisant dans le Nord et le Nord-Ouest, un peu moins favorable au Sud-Est (comparativement aux normes évidemment...). Les intersaisons ont été particulièrement ensoleillées, alors que le cœur de l'été a été souvent assez gris.

DÉCEMBRE 2021

- Températures :  le mois a commencé dans la fraîcheur, suivie d'une période anticyclonique assez froide, marquée par des nuits particulièrement froides là où le ciel était dégagé (et notamment vers les massifs montagneux). Mais la fin de mois a renoué avec une grande douceur, d'abord humide, puis sous des airs de printemps dans les derniers jours de l'année. Ainsi le mois dans son ensemble termine en excédent malgré une majorité de jours hivernaux avant Noël.

 

- Pluviométrie : les pluies ont été assez hétérogènes avec des cumuls souvent importants sur le Sud-Ouest et vers les Alpes du Nord. Ils ont été plutôt faibles sur le Nord-Ouest et la Nord-Est et même très insuffisants près de la Méditerranée. La recharge hivernale est donc inégale pour le moment...

 

- Ensoleillement : en raison de conditions anticycloniques souvent présentes, l'ensoleillement est très inégal. En effet, la moitié Nord a souvent été affectée par des phénomènes de basses couches persistants, avec des cumuls souvent très faibles...A contrario, la moitié Sud a bénéficié de flux plus favorables à l'assèchement des masses d'air et donc d'un ensoleillement très important sur cette période. Malgré le retard souvent accumulé en début de mois, le bilan mensuel est généralement bien excédentaire.

NOVEMBRE 2021

- Températures :  dans la continuité du mois d'octobre, les déficits ont été présents sur quasiment tout le pays. Seuls le Sud-Est et, dans une moindre mesure, les côtes de la Manche sont restés dans le positif.

 

- Pluviométrie : les pluies ont été globalement faibles avec des conditions anticycloniques dominantes. L'extrême Sud et une partie de la Corse affichent de nets excédents en raison d'épisodes pluvieux localisés mais importants. Sur le reste du pays, quelques pluies sont intervenues en début et fin de mois, mais pas de quoi rattraper le retard du reste du mois.

 

- Ensoleillement : comme souvent à cette saison, l'ensoleillement est très hétérogène en raison des conditions anticycloniques dominantes, favorisant certaines régions (le quart Nord-Ouest par exemple) et en en laissant d'autres dans la grisaille, notamment un gros quart Nord-Est et près des Pyrénées.

OCTOBRE 2021

- Températures :  contrairement au mois de septembre, notre pays est resté majoritairement sous les normales de saison en raison de flux de Nord-Est persistants. Les conditions anticycloniques ayant dominé sur la majeure partie du mois, ce sont surtout les minimales qui tirent les valeurs vers le bas avec des nuits dégagées et donc assez froides. Les gelées ont d'ailleurs été assez fréquentes dans certaines régions.

 

- Pluviométrie : les pluies ont été très irrégulières, autant dans le temps que dans l'espace.  En effet elles se sont concentrées essentiellement sur le début et la fin de mois. Une partie des régions méditerranéennes ont connu plusieurs épisodes sur ces deux périodes, tandis que le Nord-Ouest essuyait un épisode pluvieux hors-norme dans les premiers jours du mois. Ailleurs, les pluies ont été plus limitées, voire même bien faibles dans un grand quart Sud-Ouest et en Corse.

 

- Ensoleillement : c'est un ensoleillement exceptionnel qui a dominé ce mois en raison de conditions anticycloniques largement favorables (flux continentaux). Beaucoup de records sont d'ailleurs tombés dans la partie centrale du pays. Si les valeurs sont moins exceptionnelles ailleurs, elles sont excédentaires partout.

SEPTEMBRE 2021

- Températures :  ce premier mois de l'automne météo aura été marqué par sa chaleur, particulièrement en première quinzaine, avec des températures dignes d'un plein été et même un coup de chaud en première décade. Si la fin de mois s'est révélée plus fraîche, cela n'a pas suffit à inverser la tendance. Les excédents sont relativement homogènes à l'échelle du pays avec cependant quelques exceptions localement.

 

- Pluviométrie : le bilan est très inégal à l'échelle du pays avec des secteurs qui ont reçu des orages diluviens et d'autres qui sont passés au travers de la plupart des dégradations. L'essentiel des pluies tombées durant ce mois l'ont été sous orages ou sous leurs fronts associés. Globalement c'est un axe allant du Sud-Ouest au Centre qui a reçu le plus de pluie, avec un maximum sur l'Ouest du Massif Central. Le bilan est très hétérogène en régions méditerranéennes. Ces différents épisodes sont à retrouver dans la rubrique "actualités".

 

- Ensoleillement : si la moitié Sud a reçu généralement plus d'eau que la moitié Nord, cela se reflète également sur l'ensoleillement, avec des excédents marqués sur les régions les plus septentrionales. Le piémont pyrénéen enchaîne un énième mois nettement plus gris que la moyenne...

ÉTÉ 2021

- Températures :  c'est un été très proche de la normale avec des excédents très présents en juin et des déficits plus léger en juillet et en août. Au total ces 3 mois se compensent. Ils ont tous connu une période de chaleur, mi-juin, en 3ème semaine de juillet et mi-août, mais si la première fut particulièrement précoce, les suivantes n'ont pas présenté de valeurs marquantes, hormis près de la Méditerranée. La fin juin et la fin juillet/début août ont connu des températures très en-dessous des normales.

 

- Pluviométrie : c'est un bilan très positif à l'échelle du pays avec des mois de juin et juillet bien arrosés, voire très humides sur certaines régions. Les régions méditerranéennes font exception avec une sécheresse marquée. La situation est particulièrement critique en Corse.

 

- Ensoleillement : le bilan est sans trop de surprise négatif sur la majorité des régions avec un soleil en berne presque partout en juillet et sur la moitié Nord en août, malgré de légers excédents en juin. Là encore les régions méditerranéennes s'en sortent mieux.

AOÛT 2021

- Températures :  pour le deuxième mois consécutif, le thermomètre a été plutôt frileux. Le début de mois a été particulièrement frais sous un régime océanique perturbé. On notera un coup de chaud en milieu de mois qui a concerné la moitié Sud. La fin de mois a été un peu plus conforme aux normales, quoique fraîche au Nord. Les déficits sont nettement prononcés au Nord et au Centre, alors que les excédents dominent au Sud-Est.

 

- Pluviométrie : c'est un mois globalement bien sec avec des pluies concentrées sur la première semaine ou décade. Seul un petit quart Nord-Est tire son épingle du jeu. A l'Ouest et près de la Méditerranée, cela fait suite à un mois de juillet déjà sec dans l'ensemble.

 

- Ensoleillement : le soleil a peu brillé au Nord, souvent en proie aux grisailles persistantes au gré des différents flux. Plus on descend vers le Sud, plus les excédents sont présents, exacerbant encore plus la différence Nord/Sud que l'on observe en temps normal.

JUILLET 2021

- Températures :  un peu plus frais que la moyenne (et surtout beaucoup plus frais que les années précédentes), les déficits sont assez prononcés du Sud-Ouest au Nord-Est. Au contraire, les excédents ressortent près de la Méditerranée et plus localement dans le Nord-Ouest.

 

- Pluviométrie : les pluies ont été très inégales, même si on retrouve un bilan globalement excédentaire à l'échelle du pays.

Les cumuls approchent souvent des records mensuels vers le Nord-Est et le Centre-Est, alors que la façade Ouest a été plus épargnée (Bretagne exceptée). L'extrême Sud-Est et une partie de la Corse s'enfoncent de leur côté dans une sécheresse durable.

 

- Ensoleillement : il est nettement déficitaire à l'échelle du pays, même si on ne bat pas de record la plupart du temps. Le Nord-Ouest s'en sort un peu mieux.

JUIN 2021

On notera une première quinzaine globalement bien chaude (avec un épisode de fortes chaleurs en milieu de mois), ensoleillée et sèche, hormis très épisodiquement en début de mois.

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A contrario la seconde quinzaine a été marquée par des températures rejoignant les normales, voire passant en-dessous en fin de mois selon les régions, une pluviométrie souvent très abondante sous les orages (régions méditerranéennes exceptées) et un ensoleillement plus faible.

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Au total sur le mois c'est donc un mois chaud (le 5ème le plus chaud depuis le début des relevées selon Météo-France), très arrosé (surtout vers le Centre-Ouest et le Nord) et proche des normes d'ensoleillement.

MAI 2021

Frais, bien humide à de rares exceptions (extrême Sud et Pyrénées) et correctement ensoleillé dans l'ensemble.

AVRIL 2021

- Températures : globalement bien frais, on retiendra surtout les gelées fréquentes et parfois fortes, particulièrement du Centre au Nord et au Nord-Est où des records ont été plusieurs fois battus. Le déficit est donc plus important sur les minimales que les maximales. A l'échelle du pays ce sont bien ces régions qui enregistrent les plus grands déficits, tandis que le bilan est à peu près l'équilibre vers le Sud-Ouest.

 

- Pluviométrie : les pluies ont été très hétérogènes, mais généralement très maigres. Seuls les régions méditerranéennes tirent leur épingle du jeu grâce à plusieurs jours bien arrosés en fin de mois. Les records de sécheresse sont localement battus dans certains secteurs du Centre ou de la Bretagne et font suite à un mois de mars (et souvent février) déjà très déficitaires.

 

- Ensoleillement : il est logiquement très excédentaire sur la majeure partie du pays, avec une répartition insolite, puisque certains spots bretons totalisent une centaine d'heures de plus que la Côte d'Azur et le piémont pyrénéen ! Ce sont bien évidemment pour les premiers des records mensuels !

MARS 2021

- Températures : elles sont très proches des normes sur tout le pays, allant plutôt vers de légers excédents, hormis localement dans le Sud-Est ou le Centre.

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- Pluviométrie : il s'agit sans surprise d'un mois très sec, particulièrement près de la Méditerranée, puis dans l'Ouest.

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- Ensoleillement : il a été très généreux puisque les excédents dépassent très régulièrement les 30 % !

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